U Teatru di l’Olmu présente « Tous les mots qui me viendront … »
Une création de Daniel Delorme
Entrée libre
SYNOPSIS –
« C’est l’histoire d’un petit garçon « Dédé di Sanghjisè», isolé des autres enfants jusqu’à l’âge de six ans, âge auquel il découvre l’école, le monde réel et les difficultés engendrées par son ignorance des codes sociaux. Une expérience malheureuse va mettre fin à ses échanges verbaux avec les filles de son âge. Le besoin de communiquer étant plus fort, il finit par leur écrire des petits mots qui produisent leur effet. Les mots ressembleraient-ils à des passages secrets ? À ces « trous de vers » qui permettent d’aller d’un univers à l’autre ? Son échange avec, ce qui est peut-être la partie féminine de lui-même « Elle », va lui permettre de refaire le chemin, du confinement de sa fenêtre jusqu’aux confins de ses horizons, en passant par des trous
noirs… »
« C’est l’histoire d’un petit garçon « Dédé di Sanghjisè», isolé des autres enfants jusqu’à l’âge de six ans, âge auquel il découvre l’école, le monde réel et les difficultés engendrées par son ignorance des codes sociaux. Une expérience malheureuse va mettre fin à ses échanges verbaux avec les filles de son âge. Le besoin de communiquer étant plus fort, il finit par leur écrire des petits mots qui produisent leur effet. Les mots ressembleraient-ils à des passages secrets ? À ces « trous de vers » qui permettent d’aller d’un univers à l’autre ? Son échange avec, ce qui est peut-être la partie féminine de lui-même « Elle », va lui permettre de refaire le chemin, du confinement de sa fenêtre jusqu’aux confins de ses horizons, en passant par des trous
noirs… »
Diffusion :
Marion Pazzoni Bernard
Clochette en baskets
06 16 48 73 46
clochette.en.baskets@gmail.com
UN DIALOGUE THÉÂTRAL ET MUSICAL
« La musique jouée par la violoncelliste Anne-Lise Herrera, accompagne les textes, illustre, renforce ou adoucit les propos, en se mêlant à la voix du comédien, Daniel Delorme, comme un contrechant. Les musiques des grands compositeurs comme Piazzolla, Bach, Casals, Corelli, jouent le prolongement des poésies. […] La musique devient un écrin de la dramaturgie : la sonorité du violoncelle s’entremêle à la musicalité de la poésie. »
